Livraison pellets express gratuite 48h partout en Belgique le jour de votre choix

Livraison pellets express gratuite 48h partout en Belgique
Palette pellets since 2016

6 habitudes quotidiennes qui détruisent l’environnement

6 habitudes quotidiennes qui détruisent l'environnement

Vous avez peut-être l’impression que vos petites habitudes quotidiennes n’ont pas d’impact sur l’environnement. Pourtant, certaines pratiques courantes génèrent un gaspillage et une pollution environnementale avérés. 

Cet article vous propose de faire le point sur les comportements à éviter pour réduire votre empreinte carbone et adopter une consommation plus durable.

Impact de la conduite automobile sur l'environnement

Les voitures à moteur thermique génèrent des émissions de CO2. Une voiture moyenne émet environ 0,218 kg de CO2 par kilomètre. Pour un trajet quotidien de 172 km par semaine, cela représente 37,4 kg de CO2e par semaine par conducteur.

Les moteurs thermiques dégagent aussi des particules fines et des oxydes d’azote. Ces polluants affectent la qualité de l’air et la santé pulmonaire. En Île-de-France, les véhicules thermiques sont responsables de 47% des NOx et 16% des PM2,5.

Les embouteillages augmentent la pollution. Un trafic fluide consomme 2 à 4 fois moins de carburant qu’en situation d’encombrement. Un automobiliste qui reste coincé quotidiennement peut voir sa consommation augmenter jusqu’à 30%.

ENR24

Le covoiturage divise les émissions par deux. Un trajet quotidien de 10 km en voiture thermique émet 2,2 kg de CO2. Ceux qui covoiturent quotidiennement évitent en moyenne 3 tonnes de CO2 par an.

Les transports en commun et la mobilité douce limitent l’impact environnemental. Le métro émet 0,04 kg de CO2e par 100 km contre 2,18 kg pour une voiture thermique. La marche et le vélo n’émettent pas de CO2.

L’entretien régulier réduit la pollution. Un moteur bien entretenu consomme moins de carburant. Vérifier la pression des pneus, respecter le calendrier des vidanges et adopter l’écoconduite limitent la surconsommation de carburant.

conduire

Conséquences de l'utilisation excessive du plastique

Les emballages plastiques représentent près de la moitié des déchets plastiques mondiaux. Malgré la collecte de 70% des emballages plastiques ménagers, seulement 23% sont recyclés, laissant 1,2 million de tonnes non traitées chaque année.

Le plastique persiste des siècles dans l’environnement. Une bouteille en plastique met 100 à 1000 ans à se décomposer. Les fragments microscopiques contaminent les écosystèmes, avec 10 millions de tonnes déversés annuellement dans les océans, formant des zones polluées géantes.

Les plastiques à usage unique les plus problématiques et leurs alternatives écologiques :

  • Sacs de caisse : remplacer par des sacs réutilisables en toile ou compostables biosourcés
  • Gobelets, verres et assiettes jetables en plastique (interdits depuis 2020) : opter pour de la vaisselle réutilisable en céramique ou inox
  • Pailles en plastique (interdites depuis 2021 sauf usage médical) : privilégier les pailles en papier, bambou ou métal réutilisables
  • Emballages en polystyrène expansé (interdits depuis 2021) : utiliser des contenants réutilisables en verre ou acier inoxydable
  • Plastiques oxodégradables (interdits depuis 2022) : remplacer par des alternatives biodégradables ou compostables certifiées

Les microplastiques contaminent l’eau, l’air et les aliments. Jusqu’à 650 millions de particules par jour entrent dans les stations d’épuration. Ils s’infiltrent dans les réseaux alimentaires terrestres et marins, affectant les écosystèmes et la santé humaine.

La production de plastique consomme 12% du pétrole mondial. En 2019, cela représentait 44 millions de barils dédiés à cette industrie, générant 2,24 giga tonnes de CO2. Cette dépendance au pétrole alimente le changement climatique.

Pour réduire la consommation de plastique jetable, des alternatives concrètes existent. Gourdes, sacs réutilisables ou cosmétiques solides permettent de limiter l’impact. 

Surconsommation de papier et déforestation

La production de papier nécessite l’abattage d’arbres. L’industrie utilise aussi des déchets forestiers pour éclaircir les forêts et favoriser la croissance des grands arbres.

La déforestation menace 80% de la biodiversité terrestre. Chaque année, 10 millions d’hectares de forêts disparaissent, détruisant habitats naturels et services écosystémiques.

La production d’une tonne de papier génère 1,3 tonne de CO2. En Europe, le secteur représente 0,8% des émissions industrielles de gaz à effet de serre. Un trajet de camion pour livrer du papier émet 31%.

La fabrication consomme 60 000 litres d’eau par tonne de papier. En Europe, 93% de l’eau utilisée est restituée après traitement. Plus de 40% de la consommation énergétique provient de la biomasse (écorces, résidus de bois).

Privilégiez le papier recyclé ou FSC-certifié. Le furoshiki (emballage en tissu) évite le papier cadeau jetable. Réduisez l’impression, privilégiez le recto-verso et réutilisez les feuilles. 

utilisation papiers

Gaspillage d'eau dans l'utilisation des toilettes

Les anciennes toilettes consomment jusqu’à 12 litres par chasse. Une famille de 4 personnes dépense environ 360 litres d’eau potable par jour pour ce seul usage. Des modèles récents n’utilisent que 3 à 6 litres par chasse, divisant la consommation par 2.

20% de l’eau domestique sert aux toilettes. L’eau potable devrait être réservée à l’alimentation plutôt qu’à l’évacuation des déchets.

Le traitement de l’eau consomme de l’énergie. Les pompes et stations d’épuration représentent 3 kg de CO2 par m³ traité. Ces émissions indirectes atteignent 50 kg de CO2 par personne et par an, uniquement pour les sanitaires.

Les toilettes à double chasse économisent 45 à 60% d’eau. Un bouton pour 3 litres (petit besoin) et un pour 6 litres (grand besoin). Certains modèles Éco+ n’utilisent que 1,8 litre par chasse, soit 5 000 litres d’économie annuelle.

Les toilettes sèches zéro litre d’eau. La sciure ou les copeaux de bois absorbent les liquides et neutralisent les odeurs. Un système sans eau économise 15 000 litres par an, réduit la facture d’eau et préserve cette ressource vitale.

Le système Recover® recycle l’eau de douche pour les chasses. Une douche de 10 minutes remplit 20 chasses d’eau. Cet appareil réduit la consommation d’eau de 40%, avec un retour sur investissement en 5 à 7 ans pour un prix autour de 5 000€.

Gaspillage d'eau lors du brossage des dents

Un robinet classique débite 12 litres d’eau par minute. Laisser couler l’eau pendant 2 minutes de brossage gaspille 24 litres. Pour une personne brossant les dents 2 fois par jour, cela représente 17 520 litres annuels gaspillés par ce seul geste.

À l’échelle d’une famille de 4 personnes, ce gaspillage atteint 70 080 litres par an. Réduire ce gaspillage évite 35 000 litres économisés annuellement pour un ménage de 4 personnes.

Les fuites de toilettes perdent jusqu’à 140 000 litres/an. Le brossage représente 1 à 2 litres gaspillés par utilisation. Ces pertes s’accumulent avec les 39% d’eau dédiés à la douche et au bain, soulignant l’importance de corriger ce geste quotidien.

Les habitudes quotidiennes comme la surconsommation de plastique, les déplacements en voiture individuelle ou le gaspillage d’eau pèsent lourd sur le climat. Chaque geste compte : privilégier le covoiturage, opter pour des solutions réutilisables ou installer des systèmes économes en eau réduit concrètement votre empreinte carbone. En agissant dès aujourd’hui, vous préservez les ressources naturelles tout en économisant durablement. La planète et votre portefeuille vous diront merci.

ne pas recycler

FAQ : 6 habitudes quotidiennes qui détruisent l’environnement

Plusieurs secteurs contribuent à la pollution de l’environnement, mais certains sont plus importants que d’autres. À l’échelle mondiale, les plus gros pollueurs sont la production de chaleur et d’électricité, l’agriculture, l’industrie et les transports. La contribution de chaque secteur varie selon les pays.

L’agriculture intensive a un impact important sur l’environnement. Elle est une cause majeure de l’érosion de la biodiversité terrestre. La conversion de milieux naturels en terres agricoles entraîne la disparition d’espèces et la destruction de ressources. De plus, elle contribue à la disparition des sols fertiles en détruisant les organismes qui soutiennent leur fertilité naturelle.

L’utilisation d’intrants dans les cultures et les élevages pollue les écosystèmes. Les produits chimiques lessivés contaminent les eaux souterraines et les rivières. L’agriculture intensive est également une grande consommatrice d’eau douce, ce qui peut entraîner la baisse des réserves souterraines.

La mode rapide (« fast fashion ») a un coût environnemental élevé. L’industrie textile est l’une des plus polluantes au monde, représentant environ 8% des émissions de gaz à effet de serre. La production mondiale de vêtements a doublé en peu de temps, tandis que leur durée de vie a diminué. La mode rapide stimule la création de nouvelles collections avec des matériaux non durables, entraînant une augmentation des déchets.

La fabrication d’un jean nécessite environ 7 500 litres d’eau. De plus, la texture, la finition et le traitement des textiles contribuent à la pollution de l’eau. Pour réduire l’impact environnemental de la mode, il est nécessaire de passer à des matériaux plus durables, d’utiliser des énergies renouvelables et d’adopter un modèle d’économie circulaire.

L’extraction minière a un impact important sur la biodiversité. Elle contribue fortement à la dégradation des écosystèmes, entraînant une perte de biodiversité et la destruction des habitats naturels. Une grande partie de l’extraction minière a lieu à proximité de territoires protégés ou dans des zones riches en espèces.

L’exploitation minière menace de nombreuses espèces de vertébrés dans le monde. La destruction des habitats naturels, les fuites de pétrole, la déforestation et la pollution sont des atteintes environnementales liées à l’extraction minière. L’érosion des sols et la contamination des eaux affectent également la biodiversité.

La pollution numérique, engendrée par le secteur informatique, a des impacts environnementaux significatifs. Elle comprend les émissions de gaz à effet de serre, la contamination chimique, l’érosion de la biodiversité et la production de déchets électroniques. La fabrication des appareils numériques nécessite l’extraction de métaux rares, ce qui entraîne une forte consommation d’énergie et de ressources.

La fin de vie des équipements numériques pose également problème. Une grande partie des déchets électroniques échappe aux filières légales de recyclage et est exportée illégalement. Le numérique représente 4% des émissions de gaz à effet de serre dans le monde, et ce chiffre pourrait doubler d’ici 2025.

Pour réduire son empreinte carbone au travail, plusieurs actions peuvent être mises en place. On peut se tourner vers les énergies renouvelables et réduire sa consommation énergétique en changeant les néons et en éteignant les ordinateurs. L’éco-conception des produits permet également de réduire l’impact environnemental dès leur conception.

Il est aussi possible d’adopter un usage responsable du numérique en limitant l’envoi de courriels inutiles et en privilégiant le stockage de données sur des serveurs moins énergivores. Encourager la mobilité durable en favorisant les modes de transport moins polluants et sensibiliser les employés à la réduction de l’empreinte carbone sont d’autres pistes à explorer.

Code promo black friday 2023 panier

Prix dégressifs : économisez 5€ par tonne dès la troisième tonne !

Quantité Prix par tonne Prix total
2
tonnes
440 €
TTC
880 €
TTC
3
tonnes
435 €
TTC
1305 €
TTC
4
tonnes
425 €
TTC
1700 €
TTC
5
tonnes et plus
420 €
TTC
2100 €
TTC
Newsletter

Vous souhaitez être au courant des dernières offres, des nouveautés et recevoir des conseils d’experts sur les palettes de pellets en Belgique? Inscrivez-vous à notre newsletter! Nous nous engageons à vous fournir des informations pertinentes et à ne jamais encombrer votre boîte de réception.

Prix dégressifs : économisez 10 cents par sac dès la seconde palette !